Ou quand le départ d’une collègue devient un prétexte pour composer sur le manque.
Le manque est un mot plein de sens
Et je peine à le définir.
Spontanément, je pense : absence ;
Un vide impossible à guérir.
Après plus mûre réflexion,
Cette souffrance est un cadeau
Qu’on ne ressent qu’à l’occasion
Du départ de quelqu’un de beau.
En fait, le manque c’est l’amour ;
Quand on veut avoir près de soi
Une personne pour toujours
Mais que le destin nous déçoit.
Car attention à ses dérives :
De l’amour à la dépendance
Notre coeur, aisément, chavire.
Alors arrive la souffrance…
Les amis comme les amants
De nous peuvent bien s’éloigner
Mais ce n’est que physiquement
Car nos esprits, ils ont marqué !
Merci Florence, ce poème est magnifique!
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